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Un enfant de 10 ans torturé par les soldats israéliens

Un garçon de 10 ans a été soumis à des sévices physiques revenant à de la torture pendant 2 heures et demi par les soldats israéliens qui avaient donné l'assaut au magasin de sa famille le 11 juin, et qui voulaient savoir où était un révolver. Le garçon a été battu à plusieurs reprises, giflé et a reçu des coups de poing à la tête et à l'estomac, forcé à se maintenir dans une position douloureuse pendant une demi-heure et menacé. Il a été profondément choqué et a perdu deux molaires des suites de l'agression.

Le mercredi 11 juin 2008, vers 10h30, Ezzat, 10 ans, son frère Makkawi, 7 ans et leur soeur Lara (8 ans) étaient dans le magasin de leur père, où ils vendaient de la nourriture pour animaux et des œufs, dans le village de Sanniriya, près de Qualqiliya, en Cisjordanie. Les enfants ont eu soudain la surprise de voir deux soldats israéliens surgir en force dans le magasin.

Interrogatoire et sévices dans le magasin

Un soldat portant un T-shirt noir s'est mis à hurler en Arabe, d'une voix menaçante : "Votre père nous envoie chercher son pistolet". Ezzat, terrifié, a répondu : "Mon père n'a pas de pistolet". Le soldat a répondu en giflant violemment Ezzat sur la joue droite et son frère Makawi sur le visage. Le soldat a alors ordonné à Makkawi et à Lara de quitter la boutique. Une fois que les deux plus jeunes enfants étaient partis, le soldat a demandé à nouveau à Ezzat de lui donner le révolver de son père. Bien qu'Ezzat ait répété que son père n'en avait pas, le soldat lui a ordonné de le chercher dans les sacs qui contenaient la nourriture pour animaux. Ezzat a insisté, disant qu'il n'y avait pas de révolver dans le magasin, alors le soldat l'a giflé une autre fois, cette fois sur la joue gauche.

Un des amis d'Ezzat, se rendant compte que quelque chose n'allait pas, a essayé d'entrer dans le magasin mais le soldat qui se tenait à la porte lui a donné un coup de pied et l'a l'empêché d'entrer. Rapidement, un groupe de voisins s'est rassemblé devant le magasin. Certains ont essayé d'y entrer mais le soldat à la porte les en a empêchés.

Le soldat au T-shirt noir a à nouveau demandé à Ezzat de lui donner le pistolet, ce à quoi il a répondu : "Nous n'avons rien". Pour toute réponse, le soldat lui a donné un violent coup de poing à l'estomac, faisant tomber le jeune garçon sur des boites d'œuf vides. Ezzat s'est mis à crier et à pleurer de douleur et de peur. Le soldat au T-shirt noir a commencé à se moquer de lui, et à imiter ses pleurs. Ezzat est resté dans la boutique, seul avec les soldats, pendant encore 15 minutes, lorsque le soldat en noir lui a empoigné le T-shirt et l'a traîné dehors. Ezzat a demandé au soldat s'il pouvait fermer le magasin de son père, mais le soldat lui a dit qu'il voulait qu'il reste ouvert pour qu'on puisse le voler. Le soldat a également menacé Ezzat de le mettre dans sa jeep et de l'emmener.

Une fois dehors, les soldats ont ordonné à Ezzat de marcher devant eux jusqu'à chez lui, un fusil pointé dans son dos. Ils l'ont frappé plusieurs fois à la nuque tout le long du chemin. En approchant de sa maison, Ezzat a vu de nombreux gradés israéliens encerclant la maison, et des véhicules militaires verts garés devant. Une des jeeps vert olive portait l'inscription "police".

Interrogatoire et sévices dans la maison

Après être arrivés dans la maison familiale, le soldat au T-shirt noir a entraîné Ezzat dans la cour et lui a ordonné de chercher le pistolet dans un massif de fleur. Avant qu'Ezzat ait le temps de répondre, le soldat l'a giflé si violemment qu'il est tombé de face dans le massif. Sans lui laisser le temps de se relever, le soldat l'a saisi au t-shirt et l'a remis debout brutalement. Un autre soldat lui alors dit en Arabe d'aller dans le salon.

Aprochant du salon, Ezzat pouvait voir son père, debout devant la porte. Le soldat l'a frappé au cou et Ezzat est tombé par terre. Alors qu'Ezzat se relevait, le soldat l'a giflé une deuxième fois, le refaisant tomber. Tout ceci s'est passé devant son père. Le soldat a alors saisi Ezzat par son T-shirt et l'a soulevé. Il a dit à son père qu'il allait emmener son fils en prison. Il a également menacé d'emmener en prison sa sœur de 19 ans. Il a alors poussé brutalement Ezzat dans le salon, où sa mère et quatre de ses autres frères et sœurs, dont ses sœurs Diana, 19 ans, Raghda, 18 ans, Ava, 15 ans et son frère Jihad, 3 ans, étaient détenus. Sa mère pleurait. Ezzat pleurait lui aussi, et lorsque sa mère lui a demandé pourquoi il pleurait, il lui a dit que c'était parce que le soldat l'avait frappé. Sa mère a demandé aux soldats d'arrêter de battre son fils et de la battre plutôt elle.

Après plusieurs minutes, Ezzat a été emmené hors du salon et giflé plusieurs fois par le soldat en noir, dont un coup tellement fort qu'il est tombé par terre. Après l'avoir emmené dans plusieurs endroits de la maison, le soldat lui a dit de rester dans la chambre des garçons. Ce même soldat a alors quitté la pièce mais est revenu toutes les cinq minutes pour gifler Ezzat, et pour lui donner, plusieurs fois, des coups de poing à l'estomac. Chaque fois, Ezzat hurlait de douleur et fondait en larmes. Alors le soldat l'imitait et se moquait de lui. Le soldat l'a frappé au moins six fois.

Destruction de biens et usage de positions douloureuses


Très vite, cinq soldats sont entrés dans la chambre et ont commencé à détruire au marteau les biens de la famille. En tout, ils ont détruit les panneaux de ventilation en bois dans le grenier, un petit réfrigérateur dans la chambre et son contenu, ils ont fait des dégâts dans la cuisine, détruit un ventilateur et la cheminée.
Ezzat a passé une heure dans la chambre, seul avec les soldats.

Pendant cette heure, le même soldat lui a ordonné de se tenir sur un pied pendant une demi-heure, appuyé au mur et les bras en l'air (voir la photo). Cette position a épuisé Ezzat, mais il était trop effrayé pour poser son pied par terre. Finalement, un des autres soldats lui a dit qu'il pouvait poser son pied par terre. Ils lui ont alors demandé de s'accroupir. Il a réussi à rester dans cette position pendant deux minutes, puis a dû se relever. Une femme soldat est alors entré dans la chambre et lui a demandé de s'asseoir sur le réfrigérateur.

Peu de temps après, le soldat au T-shirt noir est revenu accompagné par la sœur aînée d'Ezzat, Diana. Il a commencé à demander à Ezzat s'il aimait sa sœur, ce à quoi il a répondu, "oui". Le soldat lui a alors demandé de lui dire où était caché le révolver et
que si il le lui disait, il ne le dirait pas à son père. Le soldat a quitté la pièce avec la sœur d'Ezzat. Il est revenue seul et a frappé Ezzat sur tout le corps. Il a à nouveau quitté la pièce et est revenu ensuite, offrant à Ezzat 10 shekels en échange
de l'information sur la cachette du pistolet. Ezzat a répondu qu'il se fichait de l'argent, ce qui a rendu le soldat furieux et il a sorti son casque et l'a jeté sur Ezzat, qui se trouvait à deux mètres. Ezzat souffrait énormément. Le soldat a continué à le frapper avec son casque puis a quitté la pièce une fois de plus, pour revenir le gifler au visage et lui donner des coups de poing à l'estomac. Ceci a continué encore quelques temps, le soldat quittant la pièce et revenant pour frapper Ezzat et le questionner au sujet du pistolet.

Interrogatoire de la famille

Ezzat a vu ensuite le soldat au T-shirt noir et la femme soldat emmener ses soeurs et sa mère dans une des pièces voisines de la chambre des garçons. Ils ont fermé la porte mais Ezzat pouvait entendre les soldats leur crier dessus. Il a entendu le soldat dire à la femme soldat de frapper sa mère parce qu'elle refusait de se
déshabiller pour être fouillée. La sœur d'Ezzat lui a dit, quand tout fut fini, qu'elles avaient toutes subi une fouille corporelle par la femme soldat, pendant que le soldat attendait dehors.

Entre temps, un soldat qui portait des lunettes noires est entré dans la chambre où Ezzat était détenu. Il a pointé un fusil, à quelques centimètres de la tête d'Ezzat. Il était tellement terrifié qu'il s'est mis à trembler. Le soldat s'est mis à rire et à se moquer de lui. Il a demandé à Ezzat de lui dire où était le révolver, et a menacé de lui tirer dessus s'il ne le faisait pas. Ezzat a maintenu qu'il n'y avait aucune arme cachée. Le soldat, devenant nerveux, a crié à Ezzat : "Pour la dernière fois, dis-moi où est le révolver ou je te tire dessus". Ezzat a répété qu'ils n'avaient pas d'arme. Entendant ça, le soldat a baissé son fusil et a quitté la chambre. Après environ cinq minutes, le soldat au T-shirt noir est revenu, avec quatre autres soldats, et lui ont dit qu'ils partaient, mais qu'ils reviendraient.

Les soldats sont restés en tout deux heures et demi dans la maison. Après l'incident, Ezzat a passé la nuit chez son oncle tellement il avait peur de dormir chez lui.

Ezzat a perdu deux molaires et est profondément choqué par l'incident

 

Echange de prisonniers entre l'Etat sioniste et le Hizbullah : Israël reçoit une gifle retentissante

Samir Quintar, emprisonné depuis 29 ans dans les geôles sionistes.
Samir Quintar, emprisonné depuis 29 ans dans les geôles sionistes. 

« Promesse sincère », la promesse de libération, faite par Sayyid Hassan Nasrullah, secrétaire général du Hizbullah, en juillet 2006, au plus ancien prisonnier arabe dans les geôles sionistes, Samir Qintar, est sur le point d'être honorée. Deux ans après la prise de deux soldats sionistes qui s'étaient aventurés jusqu'aux frontières entre la Palestine occupée et le Liban, en vue de les échanger avec Samir Qintar et les nobles dépouilles des martyrs, Israël a finalement admis le bien-fondé de la revendication de la résistance islamique au Liban : seules des négociations indirectes et un échange pouvaient ramener les soldats capturés à leurs familles et leur Etat.

Israël a tout essayé après cette capture : une guerre meurtrière de 33 jours contre le Liban et particulièrement le sud, des milliers de martyrs tombés et des blessés, des milliers de déplacés, la destruction des infrastructures libanaises, avec un appui occidental illimité et notamment américain, des pressions sur le gouvernement libanais illégitime par l'intermédiaire de ses alliés américains et européens, des menaces de guerre. Rien, rien n'a pu lui rendre ses deux soldats. Comme l'avait annoncé sayyid Hassan Nasrullah, seuls des négociations indirectes et l'échange peuvent les lui rendre. Deux ans après, Israël reçoit une gifle retentissante, une fois encore, donnée par le parti de la résistance, le Hizbullah !

Il est vrai que cette guerre était préparée, mais la capture des soldats l'a précipitée, Olmert voulant faire croire que son Etat est encore capable d'interdire quelque chose dans la région ! Ni lui, ni son Etat, ni même toutes les forces mondiales réunies ne peuvent obliger le Hizbullah à reculer quant à ce qu'il considère comme son droit le plus légitime : libérer les prisonniers et les dépouilles des martyrs, libérer les fermes de Shebaa et les hauteurs de Kfarshouba, assurer la souveraineté du sol libanais, résister à l'Etat colonial installé en Palestine.

Face à la fermeté du droit de la résistance, Israël a essayé de jouer ! Il a perdu, une fois encore. Ses dirigeants se sentent humiliés, sa presse est aux abois, sa population ballottée entre l'espoir d'en finir avec un cauchemar qui s'appelle résistance et l'arrogance raciste de ne pas admettre que des Arabes peuvent gagner des guerres, réussir des coups, lever la tête et imposer leur juste volonté.

La victoire de la résistance en 2006 se poursuit. C'est ce qu'a d'ailleurs annoncé le secrétaire général du Hizbullah, lors de la conférence de presse du 2 juillet, rappelant ce qu'il avait déjà annoncé : le temps des défaites arabes est passé, nous avons entamé la phase des victoires : victoire de la libération en 2000, victoire de la résistance en août 2006 avec le retour des déplacés et l'échec cuisant du plan américano-sioniste, victoire de la résistance dans la bande de Gaza, victoire actuelle avec le retour des prisonniers et des nobles dépouilles des martyrs tombés pour que vive la Palestine, victoire du droit arabe contre la spoliation israélienne, victoire de la dignité arabe qui sait récupérer ses martyrs.

Au cours de cette conférence de presse, sayyid Hassan Nasrullah a fourni quelques détails importants, pas tous (les autres seront fournis lors de l'accueil des prisonniers et des dépouilles des martyrs), pour ne pas gêner les dernières mesures avant le jour J.

Samir Qintar, le plus ancien prisonnier arabe (29 ans passé dans les geôles sionistes) sera libéré avec les quatre autres prisonniers de « la promesse sincère », faits prisonniers lors de la guerre de juillet 2006. Samir Qintar, héros de la résistance palestinienne et arabe, a été un des points les plus ardus dans les négociations, car Israël avait déjà manqué à sa promesse pour sa libération en 2004, les sionistes considérant qu'il a « les mains tâchées de sang », c'est-à-dire un résistant de premier rang.

Les nobles dépouilles des martyrs, libanais, palestiniens et arabes, environ 200 dépouilles, seront remises à leurs familles et leur peuple, tous ces martyrs ayant été tués lors des opérations de la résistance contre l'Etat sioniste ou enlevés par les sionistes, à partir du Liban. La noble dépouille de la résistante Dalal Moghrabi, partie en mars 78, avec ses camarades, dont le libanais Yahya Skaf, dans l'opération Kamal Adwan, sera enfin rendue à sa famille et son peuple. Concernant le héros Yahya Skaf, la lumière sera faite sur son sort : par l'analyse de l'ADN, sa famille sera en mesure de savoir si la dépouille que les sionistes vont rendre est effectivement celle de leur fils ou bien doit-il être considéré « disparu ».

Pour les diplomates iraniens, enlevés en 1982 par les Forces libanaises de Geagea et Bashir Gemayel, un rapport détaillé israélien fera la lumière sur leur sort : ont-ils été assassinés par les Forces libanaises ou livrés et ensuite assassinés par les sionistes ?

Concernant la libération de prisonniers palestiniens et arabes, les sionistes refusaient, pour des raisons diverses, de les inclure dans l'échange, mais il emble bien que plusieurs prisonniers palestiniens seront enfin libérés par cet échange. Les sionistes, d'après leur presse, craignent que le Hizbullah et notamment son scrétaire général, ne soient considérés dans le monde arabe et musulman, et surtout dans la Palestine, comme les véritables dirigeants de la résistance dans le monde arabe et musulman. Les sionistes ont voulu, dans les négociations, séparer entre les prisonniers de la liberté, et prenaient prétexte qu'ils étaient engagés dans des négociations avec la résistance palestinienne pour l'échange du soldat Shalit, d'une part et avec l'autorité palestinienne d'autre part, au sujet de la libération des prisonniers. Mais le Hizbullah a maintenu cependant ses revendications et c'est Israël qui est fouetté par la gifle retentissante !

Au moment où le Liban se prépare à recevoir ses héros et les dépouilles de ses martyrs, morts en héros, dans la joie et l'allégresse, mis à part quelques corbeaux libanais (Geagea en premier), c'est la « douleur » de la défaite qui plane sur le public israélien. Et cette « douleur » sera d'autant plus profonde que l'allégresse transportera le public au Liban, libanais, palestiniens et arabes, pendant des semaines, au cours de cet été 2008 que l'américain David Welsh voulait transformer en « été chaud », en été de sang et de larmes pour les résistants au Liban. Sayyid Nasrullah a minimisé la portée de leur « douleur », disant que les israéliens avaient l'habitude de considérer qu'ils sont toujours victimes, tout comme il a minimisé la menace britannique d'inclure « la branche armée » du Hizbullah au rang des « organisations terroristes », parce qu'elle aiderait les résistants en Irak et en Palestine. A ce propos, sayyid Nasrullah a dit que la mesure britannique n'avait aucune importance, mais le moment choisi pour l'annoncer avait pour but de mettre des bâtons dans les roues des négociations en cours pour l'échange : « que la Grande-Bretagne, pays de la déclaration Balfour, premier et principal Etat à avoir installé l'Etat sioniste » menace, quelle importance ? « Pour la résistance, c'est un honneur ! »

Quelle est la véritable signification de cet échange historique ?

- D'abord, que le Hizbullah n'a qu'une seule parole et que les Israéliens n'en ont aucune. Samir Qintar devait être libéré en 2004, avec les autres prisonniers libanais. Vouloir jouer avec son sort a valu à l'Etat sioniste des échecs répétés.

- Les pseudo-critères israéliens pour la libération des prisonniers se sont envolés : Samir Qintar sera libéré, en héros, malgré les critères posés par les sionistes, ce qui suscite déjà des divisions en leur sein, entre les « purs » et les « réalistes ». D'ailleurs, les sionistes étudient en ce moment le changement des critères : ce ne sont plus les « mains tâchées de sang » qui importeraient, mais « le potentiel des prisonniers à retourner à la lutte ».

- Pour la résistance palestinienne qui détient Shalit, cet échange va lui permettre d'être ferme dans ses revendications, ce que souligne la presse sioniste. D'ailleurs, c'est ce qu'a déclaré Abu Mujahid, porte-parole des comités populaires, affirmant que le prix de Shalit va augmenter, et que la voie est ouverte pour la capture des soldats sionistes en vue d'autres échanges, tant que des Palestiniens seront prisonniers.

- L'échange brise un verrou israélien qui s'est renforcé depuis 2001 : Israël considérait qu'il ne libèrerait jamais « un terroriste », terme qui a pris une signification plus générale depuis septembre 2001. Or, il est obligé de libérer les résistants palestiniens et arabes, parce qu'il ne peut plus rien faire d'autre, s'il veut apaiser sa population, qui vit les moments les plus critiques depuis le début de son histoire, en 1948.

- Pour la première fois, un Etat arabe (le Liban) parvient à clore le dossier de ses prisonniers et des nobles dépouilles de ses martyrs et de ses disparus, sans faire aucune concession à l'Etat sioniste, et sans être obligé de signer un quelconque traité.

- Les manifestations, les célébrations, la joie qui vont inonder le Liban, la Palestine et des pays arabes et musulmans, lors de cette libération et le recueillement et la dignité qui vont s'installer, lors de la mise en sépulture des 200 martyrs, dans les camps palestiniens et les villages du Liban, seront un déclencheur mille fois répété pour affirmer, haut et fort, fermement et solennellement, notre appartenance à cette résistance que nulle force au monde ne pourra briser, maintenant qu'elle a pris le chemin de la victoire sur l'ennemi spoliateur, Israël et ses alliés.

Article paru sur la liste de diffusion "Assawra"
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