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Signataires campagne mondiale
Signataires campagne mondiale en faveur de la libération de prisonniers palestiniens des prisons israéliennes
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La Knesset adopte une loi raciste contre les députés arabes
La Knesset a adopté lors de sa dernière réunion une loi raciste contre les députés arabes afin de les empêcher d'effectuer toute visite aux pays arabes, notamment la Syrie et le liban.
Le projet préparé a été proposé pour la première fois par l'initiative du chef Zabulon Orliv, du parti extrémiste de droite qui est connu par sa position contre le Dr.
Azmi Becharah, l'ancien député palestinien du parti du rassemblement national.Cette loi raciste stipule que tout arabe qui visiterait un pays arabe ennemi sera licencié à jamais de son poste à la Knesset.
Pour sa part, le député arabe à la Knesset du Front Démocratique pour la Paix et la l'Egalité, Mohammed Barakat, a dit que ce projet est annexé à une série de règles racistes pour lesquelles les juifs devraient être condamnés.
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La démolition de maisons et d'humilier les gens en Kliqlh
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La démolition de maisons et d'humilier les gens en Kliqlh |
Soldats d'occupation israéliennes ont démoli le foyer et humilier la jeunesse palestinienne dans la ville Kliqlh
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Human Rights inquiète des enquêtes sur l'assassinat du cameraman de Reuters et des civils à Gaza
L'organisation internationale, Human Rights Watch, a affirmé que les enquêtes sur l'assassinat des civils sont insuffisantes et que le gouvernement de l'occupation devait effectuer des "enquêtes objectives sur le terrain"
Lors des son communiqué de presse, du 2 mai 2008, l'organisation de « Human Rights Watch » a souligné que les enquêtes sur l'assassinat des civils, seulement, sont insuffisantes, car le gouvernement de l'occupation devait effectuer des "enquêtes sur le terrain", objectives et profondes sur le bombardement qui a tué un cameraman de l'agence "Reuters" ainsi que les 3 citoyens civils à Gaza, le 16 avril 2008.
Human Rights Watch a déclaré, dans une lettre, envoyée le 30 avril 2008, au procureur général militaire des forces armées de l'occupation israélienne en lui affirmant que les enquêtes militaires sur le terrain au sujet de la sécurité des civils pendant les guerres n'étaient ni objectives, ni approfondies, alors qu'elles n'ont servi que des prétextes de mauvaise affirmations des forces de l'occupation.
Sarah Watson, directrice de l'organisation de "Human Rights Watch" au Moyen Orient, a accusé les enquêteurs militaires de l'occupation de ne pas chercher d'obtenir des preuves sur le terrain, en entendant d'autres témoins sur ces évènements, en qualifiant les enquêtes israéliennes d'insuffisantes autour de ces violations aux lois internationales.
L'organisation internationale s'est protestée fortement contre les enquêtes militaires de l'occupation, en les rappelant que, le 16 avril 2008 et durant cet incident, un char militaire de l'occupation a tiré un obus qui a tué Fadel Shana'a, 23ans, le caméraman de Reuters, avec Ahmed Aref Faraj Allah, 14 ans, Ghassan Khaled Otawi, 17ans et Khalil Ismaïl Daghmoush, 22 ans.
Des témoins oculaires ont déclaré à Human Rights Watch qu'il n'y avait pas eu de combats durant l'assaut militaire, ce jour-là, et que les soldats israéliens qui se trouvaient sur le char militaire avaient l'occasion d'identifier leurs cibles et éviter les civils.
Human Rights Watch a déclaré qu'Israël devrait également procéder à une enquête objective approfondie sur l'assassinat exécuté, le 28 avril à Beit Hanoun, par un avion israélien, en tuant une mère et ses quatre enfants dans leur maison.
Human Rights Watch a déclaré que ses travaux de recherche et d'enquêtes sur les évènements entre 2000 et 2005, ont constaté que les enquêtes de l'occupation étaient insuffisantes, non approfondies et non objectives.
Human Rights Watch demande de rendre publics les résultats des enquêtes sur les incidents du 16 et 28 avril, où des civils ont été sauvagement assassinés par les forces armées de l'occupation, afin de poursuivre en justice toute personne jugée responsable de ces graves violations aux droit humains. "Nous avons constaté que les forces israéliennes ont un faible degré d'investigation personnelle," a déclaré Watson. "Et si Israël veut épargner la vie des civils et veut montrer son engagement et son respect aux lois internationales pendant la guerre, elle doit donc permettre des investigations indépendantes," a ajouté
Human Rights. Human Rights Watch a réaffirmé que les États ont une obligation d'enquêter sur ces sérieuses violations perpétrées par leurs forces, en soulignant qu'une enquête profonde, sérieuse et indépendante serait très importante pour éviter d'autres évènements militaires semblables.
L'organisation a ajouté que cela impose une discipline de maintien responsable pour assurer la conformité aux lois et le respect des règles de la guerre. "Ces enquêtes sont nécessaires lorsqu'il existe de graves violations aux lois de la guerre", a t-il réaffirmé Human Rights Watch.
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